La propagation du virus est encore et toujours d'actualité. À l'heure où le variant britannique fait de plus en plus parler de lui, des solutions pour le contenir sont proposées à foison. Parmi celles-ci, l'Académie de Médecine en a proposée une plutôt... originale : ne plus parler dans le métro, ou dans les transports en commun en général.

En France comme ailleurs, les contaminations n'en finissent pas. Chacun à sa manière essaye de chercher des solutions pour éviter de faire augmenter le nombre de contaminés. Il y a le vaccin bien sûr mais cela ne suffit pas à ce jour.

"Ne plus parler dans les transports"

Ainsi, l'Académie nationale de médecine a proposé quelque chose d'original, ce vendredi 22 janvier : "éviter de parler et de téléphoner dans les transports en commun, même masqué".

Elle a aussi recommandé d'abandonner les masques artisanaux qui sont moins efficaces contre la propagation du virus. Olivier Véran, ministre de la Santé, a aussi invités opter de préférence pour les masques fabriqués soi-même, à base de tissu par exemple, "car ils sont moins filtrants".

La distanciation d'au moins un mètre est toujours également recommandée, ainsi que les gestes barrière.

Réaction sur les réseaux sociaux

Cette proposition de l'Académie de médecine a été fortement commentée sur internet, sur Facebook et Twitter entre autres. Les avis sont partagés. Certains estiment qu'on n'en fait "déjà beaucoup" et que "si l'on ne peut même plus parler, où va-t-on ?".

Par ailleurs, d'autres préféraient que d'autres mesures soient prises, comme par exemple le nettoyage plus fréquent des surfaces touchées par les usagers des transports (portes, poignées, barres de métro, etc.). Et puis il y a ceux qui disent : "de toute façon, trop peu de gens parlent dans le métro pour que cela ait un impact".

Et puis, bien sûr, il y a eu ceux qui se sont montrés d'accord avec cette proposition, "pour qu'on en finisse avec ce virus".