Une attaque, suivie d'un Coup d'État aurait été planifié afin de faire tomber l'Élysée. L'auteur de ce plan serait Rémy Daillet, catalogué "complotiste". Il avait nommé ça "Opération Azur", plan déjà assez abouti. Il a été mis en examen.
C'est une information de taille qui vient d'être révélée. En effet, ces conséquences auraient pu être lourdes si le plan avait été mené à exécution. Il s'agirait là d'un Coup d'État qui aurait été démantelé, selon les autorités. Une attaque contre l'Élysée aurait été en cours de planification, sous le nom d'"Opération Azur". Elle aurait été pilotée par Rémy Daillet.
Renverser "ce gouvernement génocidaire"
Pour Rémy Daillet, il s'agissait de faire tomber "ce gouvernement génocidaire", d'après lui, et le président Macron avec. Les motivations de ce dernier étaient de mettre fin au projet de la 5G et de la vaccination et des mesures sanitaires covid.
Ce projet, au vu de l'enquête, semblait assez abouti, déjà. En effet, des détails sur la mise en oeuvre de l'attaque du palais présidentiel en elle-même ont été découverts. Il y avait aussi des détails sur des catégories d'assaillants, tels que des "voltigeurs", "grenadiers". Leurs tâches semblaient bien déterminées.
Pas seulement l'Élysée !
L'Élysée n'était pas le seul lieu qui avait été visé par Rémy Daillet son équipe. Ils envisageaient aussi de s'en prendre à l'Assemblée nationale et au Sénat, ainsi qu'au ministère des Armées. "L'occupation d'une antenne de radio ou de télévision pendant plusieurs heures était envisagée pour diffuser la propagande", a-t-on pu apprendre sur la chaine d'info continue BFM TV.
Déjà écroué par le passé pour enlèvement
Rémy Daillet se trouve sous les verrous actuellement. La DGSI a pu déjouer son plan pour faire tomber l'Élysée et les autres lieux clés de la République française, selon les autorités.
Il a été mis en examen pour association de "malfaiteurs terroriste" ce 22 octobre dernier. Par ailleurs, ce père de sept enfants, déjà écroué et inculpé en juin dernier. C'était dans le cadre de l'enlèvement de la petite Mia. Il envisageait déjà alors de s'en prendre à l'État, jusqu'à s'emparer de l'Élysée, selon des informations révélées au Parisien, qui a fait connaitre cette affaire.