Ce lundi 29 novembre en soirée, le médecin français Martin Blachier était l'invité de l'émission 24h Pujadas, animée par le journaliste du même nom, David Pujadas. Il a été question des vaccins, des contaminations au covid et des mesures sanitaires de manière plus générale. Par ailleurs, en duplex, le docteur Brechot était aussi interrogé. Celui-ci a déclaré à David Pujadas : "Ce qu’on peut attendre, c’est une augmentation du nombre de cas de personnes vaccinées, bien vaccinées, mais quand même infectées".
Deux personnes ont été interrogées par le journaliste David Pujadas dans son émission "24h Pujadas" diffusée sur la chaine d'informations en continu LCI.
David Pujadas est revenu sur le sujet sanitaire actuel que représente la crise du covid. Cette crise impacte tant les citoyens français dans leur ensemble que les institutions qui doivent gérer tout ça, qu'elles soient médicales ou politiques.
" Je ne pense pas que le variant Omicron va changer grand-chose à la situation actuelle"
"Est-ce que, ce soir, vous êtes un homme inquiet ?" a demandé le journaliste français David Pujadas au docteur Martin Blachier. C'était ce lundi 29 novembre dans l'émission 24h Pujadas sur la chaîne française d'information en continu LCI.
Le docteur Blachier est spécialiste en santé publique. Il a déclaré lors de cette entrevue télévisée : "La courbe [des contaminations au covid - ndlr] augmente sans cesse". Il a donc ajouté, au sujet du variant Omicron qui vient d'arriver, il y a peu, en Europe : "Je ne pense pas qu'il va changer grand-chose à la situation".
"Une augmentation des infections, même chez les vaccinés"
Un autre médecin était également invité par David Pujadas. Cette fois-ci, c'était en duplex. Il s'agit du docteur Brechot.
"Vous confirmez qu'il est plus contagieux mais qu'il n'est pas plus dangereux ?", a demandé David Pujadas au sujet du variant Omicron. Le docteur Brechot, disant au passage qu'il est en contact avec des médecins sud-africains, lui a bel et bien confirmé cela. "Effectivement, le variant a l'air plus contagieux".
"Sur la sévérité, les premières indications que l'on a montrent qu'il n'y a pas une sévérité accrue [du variant Omicron]". Néanmoins, le docteur Brechot précise qu'il faut "rester prudent", "parce que les coronavirus sont particuliers".